L'Implication de Thomas d'Aquin dans les censures parisiennes de 1277

Il y a un peu plus d'un siècle, le 4 août 1879, Léon XIII publiait l'encyclique «Aeterni Patris», pour recommander à l'Église entière l'étude de saint Thomas d'Aquin, «inter Scholasticos Doctores omnium princeps et magister». Peu après, le 18 janvier 1880, le pape décidait p...

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Bibliographic Details
Main Author: Hisette, Roland (Author)
Format: Electronic Article
Language:French
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Published: Peeters 1997
In: Recherches de théologie et philosophie médiévales
Year: 1997, Volume: 64, Issue: 1, Pages: 3-31
Online Access: Volltext (JSTOR)
Volltext (lizenzpflichtig)
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Description
Summary:Il y a un peu plus d'un siècle, le 4 août 1879, Léon XIII publiait l'encyclique «Aeterni Patris», pour recommander à l'Église entière l'étude de saint Thomas d'Aquin, «inter Scholasticos Doctores omnium princeps et magister». Peu après, le 18 janvier 1880, le pape décidait par le motu proprio «Placere nobis» la mise en chantier d'une édition nouvelle des œuvres complètes de Thomas. Du point de vue du Magistère suprême, les doctrines du Venerabilis Doctor et Doctor Ecclesiae Thomas d'Aquin sont alors et depuis plusieurs siècles, à l'abri de tout soupçon.\n4207 \n4207
ISSN:1783-1717
Contains:Enthalten in: Recherches de théologie et philosophie médiévales
Persistent identifiers:DOI: 10.2143/RTPM.64.1.525873