L'ASSOMPTION DU RÉEL AU TRAVERS DU NOM: RÉPONSE PARTIELLE A GHISLAIN LAFONT
Réponse à l'article publié par G. Lafont: La pertinence théologique de l'histoire, dans la Rev. Sc. ph. th. 63 (1979) 161-202. La discussion doit être épistémologique et théologique. Après avoir rappelé son projet central (penser le monde en faisant droit à la contingence), l'A. propo...
| Main Author: | |
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| Format: | Electronic Article |
| Language: | French |
| Check availability: | HBZ Gateway |
| Journals Online & Print: | Drawer...
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| Fernleihe: | Fernleihe für die Fachinformationsdienste |
| Published: |
Librairie Philosophique J. Vrin
1979
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| In: |
Revue des sciences philosophiques et théologiques
Year: 1979, Volume: 63, Issue: 4, Pages: 580-592 |
| Online Access: |
Volltext (lizenzpflichtig) |
| Summary: | Réponse à l'article publié par G. Lafont: La pertinence théologique de l'histoire, dans la Rev. Sc. ph. th. 63 (1979) 161-202. La discussion doit être épistémologique et théologique. Après avoir rappelé son projet central (penser le monde en faisant droit à la contingence), l'A. propose une réflexion sur le nom. Que le monde soit irrémédiablement pris dans l'historique ne condamne pas à la dissémination: en effet le monde apparaît toujours comme déjà nommé, et le nom est irréductible à l'acte de nomination qui sera toujours réponse (reconnaissance, en acte, d'un nom). Par là, l'A. tente de montrer que son pari théologique ne condamne pas à esquiver le moment nécessaire d'une référence, mais conduit certes à le repenser, à ouvrir une nouvelle ontologie. Pour ce faire, il met à profit certains enseignements de la tradition juive et de l'enseignement psychanalytique. Il signale enfin que loin de rompre avec le passé, son projet ambitionne de renouer en profondeur avec certaines des positions les plus originaires et traditionnelles du christianisme. A response to the article published by G. L. : La pertinence théologique de l'histoire, in Rev. Sc. ph. th. 63 (1979) 161-202. The discussion has to be epistemological and theological. Having recalled his main project (to think the world by giving its place to contingency), the writer is proposing a reflection on the name. That the world cannot but be historical does not condemn it to be disseminated: indeed the world always appears as already named, and the name is irreducible to the nominating act that will always be a response (acknowledgment, in act, of a name). Thus the author tries to demonstrate that his theological bet does not lead to evade the necessary moment of referring, but most certainly to think it over, to work out a new ontology. To bring it about, he makes use of teachings of the Jewish tradition and of the psycho-analytical teaching. Finally he points out that his project not only is far from being a break with the past but wants to resume profound relations with some of the most original and traditional positions of Christianity. |
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| ISSN: | 2118-4445 |
| Contains: | Enthalten in: Revue des sciences philosophiques et théologiques
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