Intensität — oder die Phänomenalisierung durch reine Erprobung
Pour penser adéquatement l'auto-affection qui est centrale pour une phénoménologie radicale de la Vie, il faut dépasser définitivement le cadre ousiologique de l'apparaître traditionnel. Bien que Husserl ait montré une «différence phénoménologique» qui permet l'analyse catégorielle pu...
Main Author: | |
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Format: | Electronic Article |
Language: | German |
Check availability: | HBZ Gateway |
Interlibrary Loan: | Interlibrary Loan for the Fachinformationsdienste (Specialized Information Services in Germany) |
Published: |
2005
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In: |
Gregorianum
Year: 2005, Volume: 86, Issue: 4, Pages: 875-897 |
Online Access: |
Volltext (lizenzpflichtig) |
Parallel Edition: | Non-electronic
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Summary: | Pour penser adéquatement l'auto-affection qui est centrale pour une phénoménologie radicale de la Vie, il faut dépasser définitivement le cadre ousiologique de l'apparaître traditionnel. Bien que Husserl ait montré une «différence phénoménologique» qui permet l'analyse catégorielle pure du rapport entre apparaître et ce qui apparaît (Erscheinen/Erscheinung), il réduit encore la phénoménalisation de l'individuel à une localisation spatio-temporelle dans le flux de la conscience. Par contre, l'intensité signifie une «différence affective» absolue où l'acte est son propre contenu, c'est-à-dire à chaque fois une «variation» éprouvée ou passible absolues qui n'est plus relative à un champ transcendantal ou à un autre a priori transcendant. C'est cette intensité comme «implosion» de la vie phénoménologique pure qui effectue la matière impressionelle ou hylétique de tout sens, objet ou situation intentionnels pour nous libérer d'un ordo rerum ontologique donné avant la seule individuation comme naissance ou génération réelles. |
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Contains: | Enthalten in: Gregorianum
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