Natural Happiness: Perfect Because Self-Sufficient? Aquinas on "Nicomachean Ethics" 1.7. 1097b14-20
L'article traite l'analyse que fait Thomas d'Aquin de la remarque faite par Aristote que, si il est estimé en termes de biens minimaux, le bonheur naturel comme auto-suffisant peut être augmenté. L'analyse de l'Aquinate est comparée avec de semblables analyses par Eustratius...
Main Author: | |
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Format: | Electronic Article |
Language: | English |
Check availability: | HBZ Gateway |
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Published: |
Ed. Pontificia Univ. Gregoriana
2002
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In: |
Gregorianum
Year: 2002, Volume: 83, Issue: 3, Pages: 529-544 |
Online Access: |
Volltext (lizenzpflichtig) |
Parallel Edition: | Non-electronic
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Summary: | L'article traite l'analyse que fait Thomas d'Aquin de la remarque faite par Aristote que, si il est estimé en termes de biens minimaux, le bonheur naturel comme auto-suffisant peut être augmenté. L'analyse de l'Aquinate est comparée avec de semblables analyses par Eustratius et Albert le Grand. Celle de Thomas semble comprendre l'auto-suffisant comme "ne nécessitant rien" dans le sens de "ne manquant rien de ce qui est nécessaire pour la vie humaine". Deux sens des nécessités de la vie sont ici proposés. L'article examine ensuite la relation entre la tempérance et les nécessités de la vie pour montrer que l'Aquinate admet une certaine classe de plaisirs non nécessaires qui sont une sorte de biens minimaux rendant le bonheur comme auto-suffisant meilleur s'ils s'y ajoutent. Enfin, l'article conclut en montrant que Thomas tient de façon cohérente que le bonheur naturel comme auto-suffisant est strictement compris dans le bonheur naturel en tant que bien parfait et final. |
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Contains: | Enthalten in: Gregorianum
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