Le ragioni della convocazione del Concilio Niceno da parte di Costantino il Grande: Un'investigazione storico-teologica

La thèse de l'article est que Constantin aurait invité les évêques à Nicée pour fêter son jubilé. L'arianisme ne pouvait en être la raison, car à la fin de 324 l'empereur le considérait une chose de peu d'importance, même si scandaleuse. En tant que Pontifex Maximus, il était aus...

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Bibliographic Details
Main Author: Pietras, Henryk 1954- (Author)
Format: Electronic Article
Language:Italian
Check availability: HBZ Gateway
Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
Published: Ed. Pontificia Univ. Gregoriana 2001
In: Gregorianum
Year: 2001, Volume: 82, Issue: 1, Pages: 5-35
Online Access: Volltext (lizenzpflichtig)
Parallel Edition:Non-electronic
Description
Summary:La thèse de l'article est que Constantin aurait invité les évêques à Nicée pour fêter son jubilé. L'arianisme ne pouvait en être la raison, car à la fin de 324 l'empereur le considérait une chose de peu d'importance, même si scandaleuse. En tant que Pontifex Maximus, il était aussi responsable pour établir le calendrier des fêtes de la nouvelle religion et était tenu de conserver les formules sacrées. Les chrétiens n'avaient pas réussi jusqu'alors à se mettre d'accord sur la date de la Pâque; Constantin voulait donc la faire établir. Il semble en fait que lui seul désirait un symbole de foi signé par tous; jusqu'alors chaque église locale avait le sien propre. Pour établir la date de la Pâque, garantir la paix dans l'Eglise et produire un credo, Constantin envoya son conseiller ecclésiastique, Ossio di Cordova, en mission en Orient. Celui-ci échoua et le credo formulé à Antioche était si radicalement anti-arien qu'il devait paraître assez monarchien, vu qu'à Nicée il n'en fut pas question. A Nicée, donc, les évêques, avant de célébrer le jubilé, durent solutionner toutes ces questions. Le credo établi s'y est présenté comme un compromis assez artificiel entre les tendances antiochiennes et alexandrines. Comme tel malgré la signature de l'empereur, il ne fut accepté par aucune eglise locale. Celles-çi continuèrent pendant des décennies à formuler de nouveaux symboles, jusqu'à ce que Athanase d'Alexandrie commenca à oeuvrer pour le faire reconnaître.
Contains:Enthalten in: Gregorianum