Evaluating the Latin and Syriac Translations of the Pseudo-Clementine Recognitions
En l'absence de l'original grec, les Reconnaissances pseudo-clémentines sont accessibles intégralement en latin (traduction de Rufin, datée de 406) et partiellement en syriaque (traduction des livres I-IV, dont l'un des manuscrits date de 411). Une étude de la valeur critique des deux...
Main Author: | |
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Format: | Electronic Article |
Language: | English |
Check availability: | HBZ Gateway |
Interlibrary Loan: | Interlibrary Loan for the Fachinformationsdienste (Specialized Information Services in Germany) |
Published: |
1992
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In: |
Apocrypha
Year: 1992, Volume: 3, Pages: 237-258 |
Online Access: |
Volltext (lizenzpflichtig) Volltext (lizenzpflichtig) |
Parallel Edition: | Non-electronic
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Summary: | En l'absence de l'original grec, les Reconnaissances pseudo-clémentines sont accessibles intégralement en latin (traduction de Rufin, datée de 406) et partiellement en syriaque (traduction des livres I-IV, dont l'un des manuscrits date de 411). Une étude de la valeur critique des deux versions s'impose, car l'histoire de la recherche a souffert de deux lacunes: Ie préjugé très négatif qui pèse sur la traduction de Rufin et la négligence dans laquelle a été tenu Ie témoignage du syriaque (pas de traduction dans une langue moderne !). Mais il faut donner tout son poids à l'affirmation de Rufin selon laquelle il a choisi, pour les Pseudo-Clémentines, de traduire de façon « simple » (littérale), et non « ornée ». Une comparaison avec des témoignages indépendants (fragments arméniens, citations chez Nil d'Ancyre) amène à conclure que les deux versions sont pratiquement de valeur égale. Pour mesurer leur degré de fidélité à l'original perdu, il faudra recourir à des critères internes (influence sur la traduction du texte biblique reçu; tendances doctrinales). |
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Contains: | Enthalten in: Apocrypha
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Persistent identifiers: | DOI: 10.1484/J.APOCRA.2.301265 |