La conversion sans la religion
Cet article vise à souligner l'aspect naturaliste de l'examen par William James de la notion de conversion, pour en montrer la valeur dans l'étude de l'expérience humaine bien au-delà des phénomènes considérés comme religieux, c'est-à-dire qui impliquent une position surnatu...
Κύριος συγγραφέας: | |
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Τύπος μέσου: | Ηλεκτρονική πηγή Άρθρο |
Γλώσσα: | Γαλλικά |
Έλεγχος διαθεσιμότητας: | HBZ Gateway |
Journals Online & Print: | |
Fernleihe: | Fernleihe für die Fachinformationsdienste |
Έκδοση: |
Univ.
2012
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Στο/Στη: |
ThéoRèmes
Έτος: 2012, Τόμος: 3 |
Άλλες λέξεις-κλειδιά: | B
Θρησκεία
B William James B Athéisme B Conversion B Pragmatisme |
Διαθέσιμο Online: |
Volltext (lizenzpflichtig) Volltext (lizenzpflichtig) |
Πληροφορίες Δικαιωμάτων: | CC BY-NC-ND 4.0 |
Σύνοψη: | Cet article vise à souligner l'aspect naturaliste de l'examen par William James de la notion de conversion, pour en montrer la valeur dans l'étude de l'expérience humaine bien au-delà des phénomènes considérés comme religieux, c'est-à-dire qui impliquent une position surnaturaliste ou des religions instituées. Bien que James lui-même organise son étude des conversions dans le souci de ménager une place à un tel surnaturalisme, il est possible, à la suite de Dewey, d'interpréter sa démarche de manière à montrer que c'est au contraire lorsqu'il est dissocié de la question du surnaturel que le concept de conversion acquiert sa plus grande pertinence pour l'étude de la nature humaine. |
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ISSN: | 1664-0136 |
Περιλαμβάνει: | Enthalten in: ThéoRèmes
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Persistent identifiers: | DOI: 10.4000/theoremes.376 |