Le Mepris Du Monde Chez S. Colomban
Le monde que Colomban enseigne à mépriser n'est pas le « monde » au sens spécifiquement néotestamentaire du terme, mais l'ensemble des réalités profanes. Il dénie à celles-ci toute valeur parce qu'elles sont temporelles et considère l'homme comme étranger par nature à ce qui est...
| Auteur principal: | |
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| Type de support: | Numérique/imprimé Article |
| Langue: | Français |
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| Publié: |
Palais Universitaire
[1961]
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| Dans: |
Revue des sciences religieuses
Année: 1961, Volume: 35, Numéro: 4, Pages: 356-368 |
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| Résumé: | Le monde que Colomban enseigne à mépriser n'est pas le « monde » au sens spécifiquement néotestamentaire du terme, mais l'ensemble des réalités profanes. Il dénie à celles-ci toute valeur parce qu'elles sont temporelles et considère l'homme comme étranger par nature à ce qui est terrestre. Avant d'être surnaturel, ce mépris du monde est d'ordre ontologique (au sens large) ; la lutte contre les vices s'y superpose à une dépréciation de la condition spatio-temporelle elle-même. |
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| ISSN: | 0035-2217 |
| Contient: | Enthalten in: Revue des sciences religieuses
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| Persistent identifiers: | DOI: 10.3406/rscir.1961.2297 |