Catholicism and the Forms of Democracy: A Reflection on the Nature of the Best Regime

La nature du régime idéal de société est la question la plus profonde que pose la philosophie politique. Où se situe le régime idéeal? N'existe-t-il qu'en «paroles» comme pour Platon? Est-il représenté par la «Cité de Dieu» d'Augustin? Ou, comme le pense Aristote, s'agit-t-il au...

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Bibliographic Details
Main Author: Schall, James V. 1928- (Author)
Format: Electronic Article
Language:English
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Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
Published: Ed. Pontificia Univ. Gregoriana 1994
In: Gregorianum
Year: 1994, Volume: 75, Issue: 3, Pages: 469-490
Online Access: Volltext (lizenzpflichtig)

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520 |a La nature du régime idéal de société est la question la plus profonde que pose la philosophie politique. Où se situe le régime idéeal? N'existe-t-il qu'en «paroles» comme pour Platon? Est-il représenté par la «Cité de Dieu» d'Augustin? Ou, comme le pense Aristote, s'agit-t-il au mieux du «régime pratique le plus favorable»? Le problème doit être posé correctement. Beaucoup de théorie de philosophie politique moderne s'y méprend, car elle cherche à placer le régime idéal dans le monde comme projet d'une pure idéologie politique. La notion de «démocracie», qui pour Aristote constituait «le meilleur des pires régimes», est elle-même devenue, dans la pensée moderne, un substitut pour le régime idéal. Pour autant, démocracie peut signifier pratiquement n'importe quoi. Traditionnellement, l'Eglise a cherché à rester indifférente aux diverses modalités de régimes représentés dans differents états. La détermination d'une forme politique de la nation était considérée comme le domaine propre de la politique, non de l'Eglise. Par ailleurs, la montée des gouvernements modernes totalitaires, a mis particulièrement en lumière le fait qu'on ne peut considérer comme valide quelque régime que ce soit. L'Eglise, a défendu la proposition selon laquelle la politique n'épuise pas l'humain, mais qu'il existe des choses qui n'appartiennent «pas à César». La révélation a servi à contenir la politique dans sa sphère propre. C'est en fait par l'élimination de la révélation que la politique tend a reprendre un pouvoir absolu par rapport aux limites que lui attribuaient les auteurs classiques. La nature du régime idéal sert donc à préciser ce qu'on est en droit d'attendre du politique et ce qui le dépasse, sans lui nier sa propre sphère. 
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