Le rapport entre les deux Vies latines de l'apôtre Jean: a propos d'un récent article de K. Schäferdiek

Les deux Vies latines de l'apôtre Jean (passio Iohannis = PassIoh et Virtutes Iohannis = VirtIoh) ont en commun de larges sections. Comment expliquer cette parenté? Dans leur édition des Acta Iohannis, Junod et Kaestli ont défendu l'idée d'une source commune, généralement mieux conser...

Πλήρης περιγραφή

Αποθηκεύτηκε σε:  
Λεπτομέρειες βιβλιογραφικής εγγραφής
Κύριος συγγραφέας: Kaestli, Jean-Daniel (Συγγραφέας)
Τύπος μέσου: Ηλεκτρονική πηγή Άρθρο
Γλώσσα:Γαλλικά
Έλεγχος διαθεσιμότητας: HBZ Gateway
Interlibrary Loan:Interlibrary Loan for the Fachinformationsdienste (Specialized Information Services in Germany)
Έκδοση: 1992
Στο/Στη: Apocrypha
Έτος: 1992, Τόμος: 3, Σελίδες: 111-124
Διαθέσιμο Online: Volltext (lizenzpflichtig)
Volltext (lizenzpflichtig)
Παράλληλη έκδοση:Μη ηλεκτρονικά
Περιγραφή
Σύνοψη:Les deux Vies latines de l'apôtre Jean (passio Iohannis = PassIoh et Virtutes Iohannis = VirtIoh) ont en commun de larges sections. Comment expliquer cette parenté? Dans leur édition des Acta Iohannis, Junod et Kaestli ont défendu l'idée d'une source commune, généralement mieux conservée dans VirtIoh que dans PassIoh. L'article de K. Schäferdiek oblige à corriger cette thèse sur deux points importants: a) dans PassIoh, le récit de la mort de Jean présente davantage de cohérence que dans VirtIoh (qui combine deux traditions différentes); b) ce récit premier s'enracine dans la tradition locale de l'Église d'Éphèse(ce que confirment les autres textes qui mentionnent le miracle de la manne jaillissant du tombeau de l'apôtre, notamment la Chronique du pélerin Ramon Muntaner). Mais on ne peut se satisfaire de la manière dont Schäferdiek explique le rapport entre les deux textes (VirtIoh dépend directement de PassIoh). La source utilisée par l'auteur des VirtIoh contenait le texte complet de l'histoire de Drusiane, et non le vestige insignifiant qu'en donne PassIoh.
Περιλαμβάνει:Enthalten in: Apocrypha
Persistent identifiers:DOI: 10.1484/J.APOCRA.2.301261