Religion publique et croyances personnelles: Platon contre Socrate ?

Cet article examine l’attitude de Socrate (condamné, entre autres, pour sa divergence d’avec les conceptions religieuses de la cité) tel qu’il se présente dans les dialogues platoniciens, face à la religion officielle d’Athènes. Ensuite, nous présentons les positions adoptées par Platon dans ses cit...

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Κύριος συγγραφέας: Lefka, Aikaterini (Συγγραφέας)
Τύπος μέσου: Ηλεκτρονική πηγή Άρθρο
Γλώσσα:Γαλλικά
Έλεγχος διαθεσιμότητας: HBZ Gateway
Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
Έκδοση: Centre [2005]
Στο/Στη: Kernos
Έτος: 2005, Τόμος: 18, Σελίδες: 85-95
Διαθέσιμο Online: Volltext (doi)
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Περιγραφή
Σύνοψη:Cet article examine l’attitude de Socrate (condamné, entre autres, pour sa divergence d’avec les conceptions religieuses de la cité) tel qu’il se présente dans les dialogues platoniciens, face à la religion officielle d’Athènes. Ensuite, nous présentons les positions adoptées par Platon dans ses cités idéales concernant les citoyens qui s’écartent des attitudes religieuses établies par la loi. Enfin, nous mettons en évidence les similitudes et les différences entre Socrate et Platon sur les rapports entre la religion publique et les croyances personnelles. Contrairement aux avis courants, nous défendons l’idée que Platon est resté fidèle du début jusqu’à la fin de son oeuvre aux principes socratiques concernant le divin. En fait, dans ses cités idéales, Platon « renverse » les rôles : les croyances de Socrate, définies dialectiquement par le logos, deviennent le fondement de la législation et sont les seules acceptées officiellement.
Περιλαμβάνει:Enthalten in: Kernos
Persistent identifiers:DOI: 10.4000/kernos.901