L’ordre généalogique, entre mythographie et doxographie
L’écriture généalogique et l’enchaînement de filiations en catalogue sont un des modes narratifs caractéristiques de la mythographie, mais on les retrouve aussi bien au cœur d’un corpus apparemment distinct, celui de la doxographie. Que ce soit G. Dumézil, composant différents dispositifs autobiogra...
Τόπος έκδοσης: | Kernos |
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Κύριος συγγραφέας: | |
Τύπος μέσου: | Ηλεκτρονική πηγή Άρθρο |
Γλώσσα: | Γαλλικά |
Έλεγχος διαθεσιμότητας: | HBZ Gateway |
Fernleihe: | Fernleihe für die Fachinformationsdienste |
Έκδοση: |
Centre
[2006]
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Στο/Στη: |
Kernos
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Διαθέσιμο Online: |
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Σύνοψη: | L’écriture généalogique et l’enchaînement de filiations en catalogue sont un des modes narratifs caractéristiques de la mythographie, mais on les retrouve aussi bien au cœur d’un corpus apparemment distinct, celui de la doxographie. Que ce soit G. Dumézil, composant différents dispositifs autobiographiques, ou Diogène Laërce, le doxographe utilise la systématique généalogique pour mettre de l’ordre dans l’histoire d’une transmission du savoir. Faut-il voir cependant une simple adaptation du modèle généalogique par la doxographie ? La relation de maître à disciple est-elle la transposition immédiate de la relation de filiation ? C’est en fait un parcours complexe qui se dessine entre ces deux pôles, qui passe par la question de l’origine et de la transmission de la loi. De Minos à Pythagore, entre philosophie politique de l’époque classique et mystique néo-platonicienne, l’ordre généalogique ne va pas de soi et possède une histoire propre. |
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Περιλαμβάνει: | Enthalten in: Kernos
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Persistent identifiers: | DOI: 10.4000/kernos.442 |