La liberté religieuse au concile Vatican II et depuis

La reconnaissance de la liberté de la personne humaine et des communautés en matière religieuse est un des acquis majeurs de Vatican II. Cet enseignement, qui renouvelait le discours de l'Église catholique en cette matière, n'a pas été acquis facilement lors du concile. Depuis, cet enseign...

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Publié dans:Toronto journal of theology
Auteur principal: Routhier, Gilles 1953- (Auteur)
Type de support: Numérique/imprimé Article
Langue:Français
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Publié: University of Toronto Press [2016]
Dans: Toronto journal of theology
Année: 2016, Volume: 32, Numéro: 2, Pages: 329-340
Classifications IxTheo:CC Christianisme et religions non-chrétiennes; relations interreligieuses
KAJ Époque contemporaine
KCC Conciles
KDB Église catholique romaine
Accès en ligne: Volltext (doi)
Description
Résumé:La reconnaissance de la liberté de la personne humaine et des communautés en matière religieuse est un des acquis majeurs de Vatican II. Cet enseignement, qui renouvelait le discours de l'Église catholique en cette matière, n'a pas été acquis facilement lors du concile. Depuis, cet enseignement a montré des limites dans un contexte profondément marqué par le pluralisme religieux, des violences commises au nom de la religion et des replis identitaires conséquents. S'appuyant sur la dignité de la personne humaine et argumentant à partir d'une conception que l'on croyait commune et partagée de la nature humaine et d'une définition de la religion qui apparaît à plusieurs aujourd'hui comme trop occidentale, le droit civil à la liberté religieuse reconnu par le concile fait aujourd'hui à nouveau débat et appelle de nouveaux approfondissements.
ISSN:0826-9831
Contient:Enthalten in: Toronto journal of theology
Persistent identifiers:DOI: 10.3138/tjt.4202i