La critique du supranaturalisme chez Paul Tillich

Au début de la TS III, Tillich critique la conception supranaturaliste qui fait de Dieu un être parmi les autres, un Être suprême, brimant l’autonomie de la nature et la liberté humaine. Le naturalisme corrige cette conception en voyant la transcendance divine au cur de l’immanence de la nature, mai...

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Auteur principal: Richard, Jean 1933- (Auteur)
Type de support: Électronique Article
Langue:Français
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Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
Publié: Imprensa Metodista [2016]
Dans: Estudos de religião
Année: 2016, Volume: 30, Numéro: 3, Pages: 231-249
Classifications IxTheo:KAJ Époque contemporaine
KDD Église protestante
NBC Dieu
NBD Création
Sujets non-standardisés:B transcendance - immanence - Nietzsche - supranaturalisme - naturalisme - autotranscendance -extase - Présence Spirituelle - symbolisme religieux
Accès en ligne: Volltext (doi)
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Description
Résumé:Au début de la TS III, Tillich critique la conception supranaturaliste qui fait de Dieu un être parmi les autres, un Être suprême, brimant l’autonomie de la nature et la liberté humaine. Le naturalisme corrige cette conception en voyant la transcendance divine au cur de l’immanence de la nature, mais il ne sauvegarde pas la distance infinie entre le créateur et la créature. Ce pourquoi Tillich propose le concept d’autotranscendance, qui, tout en exprimant la distance, la séparation (aliénation) du fini et de l’infini, indique aussi l’aspiration du fini pour l’infini auquel il appartient.
ISSN:2176-1078
Contient:Enthalten in: Estudos de religião
Persistent identifiers:DOI: 10.15603/2176-1078/er.v30n3p231-249